Nous avons besoin d’une concentration des compétences en matière d’affections graves et complexes. Les chances de survie après une intervention chirurgicale pratiquée dans le cadre du traitement d’un cancer de l’oesophage ou du pancréas sont considérablement plus élevées dans les hôpitaux qui les pratiquent régulièrement. C’est ce qui ressort de différentes études du Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE). Pourtant, seul un patient sur trois s’adresse à ces hôpitaux. De ce fait, l’Agence intermutualiste (AIM) et les mutualités publient, par hôpital, le nombre de patients ayant subi une intervention chirurgicale pour ces cancers et plaident pour une concentration des compétences en matière de soins pour les affections rares et complexes. Communiqué de presse Présentation Chiffres de la présentation Responsables Presse au sein des mutualités : Jean-Marc Laasman, directeur du Service Etudes des Mutualités Socialistes, 02/515 06 88 Karima Amrous, responsable Presse Mutualités Libres, 0474/321 446 Margaux Daenen, responsable Presse Mutualités Libérales 02/542 87 38 Jean-François Bodarwé, responsable Presse MC, 0476/403 277